Pour améliorer la performance du programme de fertilisation, l’outil de pilotage Granular Link propose un diagnostic de l’efficience d’utilisation de l’azote par les cultures. Les résultats révèlent l’intérêt d’intégrer dans son programme l’utilisation de bactéries fixatrices d’azote, comme Utrisha N/Blue N, pour sécuriser comme déplafonner le rendement.
Pour éviter les carences azotées, qui pénalisent fortement la production, Corteva ouvre un nouveau module dans son outil Granular Link : un diagnostic de l’efficience d’utilisation de l’azote (NUE). Et tout ça à partir de quelques données d’exploitation : apport minéral prévu, objectif de rendement et besoins du maïs, ressources de la parcelle (apport organique et potentiel minéralisation). Selon l’écart entre la fertilisation et le potentiel (sous-dosée, optimale, sur-dosée), trois niveaux de risque sont affichés pour le manque d’azote : risque faible, intermédiaire élevé.
Selon le niveau de risque, le programme de fertilisation peut être amélioré, pour augmenter l’efficience, ou alors sécurisé pour atteindre le rendement. Dans les deux cas, la réussite s’appuie sur un principe simple : la diversification. En diversifiant les sources d’azote disponible, la nutrition suit les besoins de la plante : la bonne forme, au bon moment, au bon endroit.
La solution Utrisha N/Blue N constitue un levier de fertilisation à part entière, car elle diversifie les sources d’azote disponibles pour la plante. En complément ou en substitution dans le programme de fertilisation, Utrisha N/Blue N permet, selon les stratégies, de sécuriser, diversifier, décarboner ou déplafonner la production !
Pour en savoir plus sur Granular Link, cliquez ici !