L’évolution de la teneur en amidon dans le temps nécessite d’apporter un complément alimentaire à un certain moment de l’année. Mais les progrès de la génétique permettent d’augmenter la quantité d’amidon, pour limiter les achats extérieurs, tout en apportant une bonne digestibilité de fibres.
Amidon et fibres sont les mamelles de la valeur alimentaire du maïs fourrage. La digestibilité de l’amidon évolue dans le temps : plutôt faible à l’ouverture du silo, après un mois de conservation, elle augmente pendant six mois. Cette évolution nécessite de jongler avec des compléments pour apporter la bonne dose d’énergie dans les rations automnales et hivernales.
Face au prix élevé des aliments, la génétique peut apporter de la rentabilité. C’est le cas des maïs fourrage Pioneer par exemple, qui fournissent davantage d’amidon farineux dès deux mois après l’ensilage, contre six pour les maïs cornés dentés. Cela permet de réduire les dépenses en céréales : ce gain d’énergie de 8,5 points d’amidon dégradable rapporte 150 €/ha à l’exploitation.
La digestibilité des fibres n’est pas mise de côté dans la génétique m3. Des essais menés par Arvalis ont démontré que ces maïs présentaient la meilleure digestibilité de fibres sur le marché. Choisir la technologie m3, c’est choisir l’amidon sans renoncer à la fibre.
Pour plus d’informations, consultez votre référent Pioneer !