Les conditions climatiques poussent à recalculer le bilan azoté pour bien ajuster la fertilisation. Dans une perspective de faibles reliquats, plusieurs solutions peuvent être mobilisées pour fractionner les apports. Parmi elles, les bactéries fixatrices de l’azote de l’air contenues dans Utrisha N./p>
Avec une pluviométrie record cet hiver puis au printemps, il est important de bien quantifier la dose d’azote, en mesurant le reliquat azoté, pour recalculer le bilan azoté. En effet, les fournitures du sol seront faibles à très faibles cette année, du fait d’une forte minéralisation suivie de grosses pluies qui ont provoqué un lessivage important. D’autre part, la tension sur la disponibilité en plants de pomme de terre conduit à diviser les plants mères, ce qui peut altérer la qualité d’implantation de la culture.
La révision du bilan azoté et le fractionnement des apports d’azote, en fonction de la pluviométrie et du développement racinaire, parfois limité, deviennent donc des axes stratégiques de conduite culturale pour optimiser la production.
Dans cette situation, plusieurs actions peuvent être menées pour sécuriser et améliorer le rendement final. La première consiste à viser les formes d’azote les plus efficientes et stables : l’ammonitrate, les engrais à libération contrôlée, les stabilisateurs d’azote comme Instinct (en mélange à la Solaz). L’objectif peut aussi être de compléter et de diversifier les sources d’azote, par exemple avec Utrisha N, une source d’azote d’origine bactérienne, qui pénètre la plante par absorption foliaire et présente l’avantage d’être non lessivable. Son application se réalise par pulvérisation avec des anti-mildious et présente de nombreuses compatibilités.
Pour bien positionner la solution, Corteva vous accompagne avec le service Top traitement