Un désherbage des colzas en post-levée, basé sur des anti-dicots à large spectre, reste une stratégie efficace. Pourquoi ? Car un traitement en foliaire de manière ciblée tient compte du stade de la culture, des adventices présentes et de leur pression. Du sur-mesure pour un résultat optimal.
Le désherbage des colzas en prélevée n’est plus la solution la plus utilisée par les producteurs de colza. Cette stratégie, basée le plus souvent sur un recours à des produits racinaires, a pu montrer un manque de régularité et d’efficacité sur des flores concurrentielles comme le gaillet, le coquelicot ou le géranium. Et ce, notamment lors de fin d’été sèches. La solution ? Opter pour un traitement en post-levée, composé d’anti-dicots à large spectre. La gamme de Corteva permet ainsi d’intervenir sur des colzas vigoureux, bien implantés, après le stade 4 feuilles, en ciblant des adventices levées et donc bien identifiées : un gage de flexibilité et de rentabilité. Le désherbage se fait alors à la parcelle, pour une efficacité optimisée.
Cette année encore, l’enjeu est d’intervenir avec la solution la plus adaptée !
Car depuis la levée des colzas, les adventices observées ont déjà été nombreuses et variées : mercuriales et chénopodes début septembre puis géraniums, gaillets, coquelicots et bleuets. Sans oublier une montée en puissance de la problématique des chardons des champs dans de nombreux champs. L’observation de chaque parcelle mérite donc le plus grand soin afin de bâtir le programme le plus adapté aux mauvaises herbes présentes.